procet

La première affaire de régall

Dans la salle du tribunal le public finissait de s’installer dans le bruit. Quand le commissaire militaire Général Régall rentra et s'assit sur sa chaise qui lui étais destinée pour présidé se jugement.

Régall se mis a crié:
"-Silence, silence" Toute en tapent avec le marteau de la justice sur le bureau.
Le public se tue et la séance pus commencer dans le calme.
Régall commença a dictée les peines et les articles de lois qui prouvais la fautes commise par l'accusé:

"La séance et à présent ouverte.
Soldat capritali, le soldat cratos à porté plainte contre vous au nom de toute l'union populaire pour insulte à sa sainte patrie, donc toutes les personnes qui veulent intervenir dans se jugement on le droit, car c'est une insulte à tous l'Union Populaire.

Citation :: Voici la preuve:
Citation:
Capritali U-0-2564

Caporal Chef - (204 XP)
Epée et bouclier

FUCK LUP!

Cette actes est interdit D'après l'article du code populaire:

R.13-1 : Toute atteinte verbale envers le Maréchal ou le Commissaire Général du Parti Communiste, ou envers la sainte patrie de L'Union Populaire est un crime. Dans ce genre de cas d'une extrême gravité, La Commission Militaire Centrale du KGB sera automatiquement saisie, sans prendre en compte les procédures habituelles. Un procès aura lieu en présence des Maréchaux et du blasphémateur.
La sentence pourra aller de 4 à 6 clonages, suivant la gravité du blasphème, et l'attitude du coupable.
En cas de récidive, la peine sera ré appliquée et augmentée d'un clonage, dès les constatation des faits par un Commissaire Militaire, et sans aucune procédure.

Donc d'après l'article que je viens de prononcé, je demande déjà des excuses franches devant le peuple de l'Union Populaire. J’ai décidé vu la gravité de cette acte que même si l'excuse est proclamé j'affligerais quand même une sentence qui sera d’être TRT pour trois clonage, par contre si il y a pas d'excuse l’accusé sera condamné à être TRT pour 6 clonages qui est la peine maximal.

Je laisse maintenant la parole a la défense ou au commissaire politique.

Régall se tue, et tous d'un coup un silence lourd pesait sur la salle, le commissaire politique shi-ao se leva et prit la parole avant que la défense expose son argumentation.

Entouré par 4 soldats de la Garde d'Honneur Présidentielle, il se dirigea vers la barre. Il prit enfin la parole:

"Soldats de l'Union, Commissaire, membres du Tribunal Populaire, je tiens avant toute chose, rappeler les circonstances de cette affaire. Le Soldat Capritali a insulté la Grandeur de l'Union Populaire suite à une exécution sommaire. cette exécution n'a pas totalement été réalisée dans les lignes de notre justice. Cependant, ce qui est fait est impardonnable, le coupable doit être jugé comme il se doit! Merci..."

Puis il retourna à sa place...

Après ce discours l'avocat de l'accusé se leva a sont tour et pris la parole pour défendre sont client:

"Bonjours a tous le monde

Je vais commencé tous d'abord par émettre mon avis sur cette affaire.
Je trouve comme tous bon soldat de l'union populaire que l'acte que a commis mon client est tous a fait incompréhensible mais cela n'est pas une raison pour le condamné d'une telle peine.
Surtout quand l'on connais sont passé avec la justice qui avait ignoré le meurtre de sont meilleur amis par un soldat de l'union populaire, la justice avait camouflé cela en assassinat par des soldats expérimenté d’un camp adverse, bien sur je n'est pas de preuve, j'ai juste la parole de mon client.
En plus mon client est un jeune soldat prometteur donc j'espère monsieur e commissaire militaire que vous baisserez au moins la peine si mon client s'excuse en public.
Je vous laisse a présent la parole j'espère que vous réagirai."

Après ses paroles l'avocat s'assit sur son siége en attendant le verdi que.
Nous vîmes tous, le commissaire réfléchir. Personnes dans la salle n'osai parler, tous les mondes se demandaient quelle sera la réaction du commissaire, seul lui tenais vraiment le destin de l’accusé dans ses mains.
Régall pris tous son temp pour étudier les dossers il ne voulai en aucun cas ne faire d'injustice judiciare surtout pour sa premiére affaire.
Le commissaire militaire général repris la paroles après une bonne dizaines de minute:

"Monsieur l'avocat je laisse le choix a votre client, sois de s'excusé en public devant le peuple de l'union populaire et d'être condamné à être TRT pour un clonage ou sois de ne pas s'excusé et être condamné à être TRT pour six clonages.
Comme vous avez pu le constaté j'ai baissé la peine si il s'excusais car comme vous l'avez dit c'est un débutant qui a commis des erreurs, il a déjà subit une sentence sans jugement et il a peut être dit ses paroles sous l'effet de la colère, c'est pour cela que j'ai baissé la peine qui vont avec les excuses elle est passé de trois clonages à un seul clonage.

Je laisse maintenant la possibilité a votre client de choisir entre ces deux choix."

Après le verdi que l'accusé se leva et commença a prononcé sont choix après quelque minute de discutions avec sont avocat:

"J'ai décidé de m'excusé car je regrette mes actes comme il a été dit pendant la séance j'ai dit cela sous le coups delà colère.
Je m'excuse sincèrement devant tout le peuple de l'union populaire.
Maintenant je remercie le commissaire militaire général d'avoir baissé la peine et je remercie mon avocat pour y avoir contribué."

Après les excuses du soldat Capritali, égall déclara la séance close.

cratos a écrit:: Commissaire

On était le 18 décembre à 16h de l’après midi, Régall soldat du KGB se promenait dans le camp de l'Union juste au moment ou il vue une affiche de recrutement pour devenir commissaire, Régall se mis à courir en direction de l’affiche.

Régall avait le sourire juste qu’aux oreilles car il rêvait d’être commissaire depuis qu’il étais tous petit, et aujourd’hui sont rêve pouvais se réalisé. Il commença à la lire, il regarda les caractéristiques qu’ils fallaient pour le devenir. Régall repartit en courant dans ces cartiers. Il sorti une feuille et se mis à écrire.

Après un petit grincement de porte, Cratos entra dans la pièce et vu Régall plongé dans l’écrire, une montagne de papier déchiré était éparpillée à coté de lui.
Il regarda Régall écrire, écrire et écrire encore tout en murmurant sa difficulté à faire ses quelques lignes.

Le lendemain, Cratos qui venait de se réveiller pour partir au front, aperçu de son lit Régall qui courait déjà partout à travers le camp du KGB. On pu alors lire sur son visage une grande surprise de voir son camarde de toujours levé si tôt. C’était la première fois qu’il voyait Régall debout aux aurores. Régall était partis au bureau du commissaire Général du Parti communiste car il n’arrivait pas lui écrire une lettre.

Il entra dans la salle d’attente et s’assit sur un fauteuil qui se situait à coté d’une énorme fleure. Puis le temps passa, Régall excité par cette attente ne cessait de bouger sur son fauteuil, il regardait sans cesse sa montre et le temps qui s’écoulait lui paressait une éternité.
Tous à coup la porte du bureau s’ouvrit et la secrétaire cria.

« _c’est autour de Régall sujet recrutement. »

Régall entra dans un petit couloir, et arriva enfin devant une immense porte qui signait le bureau de –Corbeau-.
Il s’assit en face de lui tête baissée puis quand celui-ci releva la tête -Corbeau- entama la conversation:

« _ La secrétaire m’a dit que vous vouliez devenir commissaire. Vous savez qu’il y a un minimum de caractéristique à avoir ?

_Oui je sais je les ai lus sur l’annonce de recrutement et je pense toutes les avoir.

_Toutes ? C’est un fait très rare. Si ce que tu me dis est vrai, alors je t’engagerai.
Mais avant j’aimerais s’avoir pourquoi veux tu faire commissaire ?

_ Depuis ma plus tendre enfance ceci est mon rêve. Faire respecté les lois à tout prix, que la population de l’Union populaire vive sous notre influence et sous notre domination.

_Tu m’as l’air motivé donc je vais te faire passer un teste, si celui-ci s’avère positif tu sera alors pris à l’essaie. »

Régall entra alors dans une petite pièce, puis s’assit à une table.
Il pris un stylo et commença a répondre au question qui orné la vingtaine de feuille qui se situé devant lui.
Après une bonne heure de travail, Régall sortit de la pièce et donna son dossier à la secrétaire.
Il alla alors s’asseoir en salle d’attente pour attendre la réponse de –Corbeau-.
Une heure passa et personne n’était venu, Régall qui avait alors fait les cents pats dans la pièce s’assit dans un fauteuil.
Un bruit sourd vint sortir Régall de son sommeil. La secrétaire entra dans la salle et fis signe à Régall de se rendre dans le Bureau du Commissaire général.

Régall entra alors une nouvelles fois dans le bureau, puis resta devant celui-ci.

« _Voila, je viens de finir l’études complètes de ton dossier et il me semble que tu as vraiment toutes les qualités requises, donc je te veux demain 9h à ton nouveaux poste. »

Les yeux de Régall était éblouis sont rêve devenais enfin réalité.

« _Merci beaucoup.
Je ne vous décevrais pas.

_Très bien.
Vous pouvez disposer. »

Régall se retourna alors et l’on pu alors lire sur son visage un vrai signes de gaîté.

Citation :: Le nouveau grade de Régall:

Quelque moi plus tard aprés sa nomination en tant que commissaire militaire Régall vu nomé commissaire militaire général aprés la démition de l'ex commissaire militaire général:

Nous étions un premier Mai, il pleuvait a torrent sur le campement numéro 4, dit en code militaire QG 4. Le soldat Régall traversait le QG en courrant pour se réfugier à l’abri de la pluie.

Quelques minutes de course plus tard Régall arriva sur le pallier de la porte qui donnait l’accès au bâtiment réservé à sa compagnie, le KGB.

Il avança tranquillement dans le couloir qui menait au salon principal tout en enlevant son manteau et en posant par terre sa M4A2-SD. Arrivé au salon, il alluma la télévision pour regarder les informations et s’assit sur le premier fauteuil qui lui passait sous la main.

Après un temps certain, hydalgor rentra dans la pièce et aperçu Cratos sur un fauteuil :

« -Ah, te voilà enfin Régall, j’ai une lettre à te donner.
-Qui est-ce qui me la envoyé ?
-C’est -Corbeau- qui ma dit de te la donner car il ne pouvait pas rester, il avait des affaires à régler, et oui c’est ça d’être général.
-Il t’a dit le contenu, ce n’est pas grave au moins !
-Je ne sais pas, ouvre la et tu verras. »Régall ouvrit la lettre en arrachant avec les doigts le haut de la lettre, il enleva la lettre de l’enveloppe et commença à lire.
Hydralgor l’interrompit :
« -Qu’est ce qu’il y a ? Lis à voix haute.
-Oui, désolé ; lettre adressée à Régall.
Bonjours Régall, rejoins moi dès que tu peux dans mon bureau, je veux te parler de quelque chose d’important.
Viens dès que tu peux merci.
Signé -Corbeau-.
Voilà c’est tout.
-Tu as juste à aller le voir maintenant.
-Oui je vais y aller, on verra bien ce qu’il a à me dire. »

Régall sortit du bâtiment puis se dirigea vers le QG des généraux. Arrivé vers la secrétaire, il donna la lettre écrite par -Corbeau-.

« -Je vais aller le prévenir de votre venue, allez vous asseoir pour le moment. »

La secrétaire se leva et se dirigea vers le bureau de -Corbeau-. Régall entra dans la salle d’attente et s’assit sur un fauteuil qui se situait à coté d’une énorme fleur. Puis le temps passa, Régall excité par cette attente ne cessait de bouger sur son fauteuil, il regardait sans cesse sa montre et le temps qui s’écoulait lui paraissait une éternité.

Tout à coup la porte du bureau s’ouvrit et Régall aperçut -keikoru- et se leva précipitamment vers lui. -Corbeau- entama la conversation tout en dirigeant Régall à l’intérieur de son bureau :

« -Salut Régall, heureux de te voir aussi rapidement je me doute qu’ Hydalgor t’a bien passé ma lettre.
-Oui, après avoir lu ta lettre j’ai fait le plus vite possible pour te rejoindre, j’espère au moins que ce que tu as à me dire n’est pas grave ?
-Non pas du tout, c’est plutôt une bonne nouvelle pour toi ! » On vit Régall se sentir tout à coup soulagé par les paroles de son supérieur. « Je t’ai fait venir ici aujourd’hui pour te proposer mon poste »
-Ton poste de général, mais ce n’est pas possible, ce n’est pas à toi de choisir…
-Non, mon poste de commissaire militaire général, je n’ai plus le temps pour exécuter correctement mon poste, mon poste de général me prend beaucoup de temps donc j’ai beaucoup réfléchi et je crois que tu es le soldat le mieux qualifié pour prendre ma place. Bien sûr il faut que tu sois d’accord.
-La nouvelle vient tout d’un coup donc je vais quand même réfléchir. »

Régall partit dans la salle d’attente tout en réfléchissant à ce qu’il allait répondre. -keikoru- regardait Régall dans la salle d’attente en train de faire les 100 pas tout en attendant sa réponse. Après quelques minutes de réflexion Régall s’approchât de -keikoru- et lui répondit « Oui, j’accepte le poste »

-Corbeau- serra la main de Régall tout en lui disant merci. Après cela, Régall partit de la pièce et rentra chez lui.

Citation :

La première affaire de régall

Dans la salle du tribunal, le public finissait de s’installer dans le bruit lorsque la porte s’ouvrit. Le commissaire général régall marcha droit vers la chaise qui lui était réservée. Il s’installa calmement mais s’aperçut que ses mains tremblaient un peu. En effet, c’était sa première affaire et il avait peur de commettre des erreurs
il se mit a crié
"-Silence, silence" , tout en tapant avec le marteau de la justice sur le bureau.
Le public se tut et la séance débuta dans le calme.
« - Accusé, levez vous. A l’accusation d’insultes envers L’union populaire, que plaidez vous ?
- non coupable.
-La parole est désormais à cratos. »

L’avocat se leva et appela l’accusé à la barre.

« Monsieur Capritali mon client a porté contre vous pour insulte à notre sainte patrie.
Voici la preuve: »
Cratos commença a dictée les charge retenu contre l’accusé :

«

Citation :: Capritali U-0-2564

Caporal Chef - (204 XP)
Epée et bouclier

FUCK LUP!

Cette actes est interdit D'après l'article du code populaire:

R.13-1 : Toute atteinte verbale envers le Maréchal ou le Commissaire Général du Parti Communiste, ou envers la sainte patrie de L'Union Populaire est un crime. Dans ce genre de cas d'une extrême gravité, La Commission Militaire Centrale du KGB sera automatiquement saisie, sans prendre en compte les procédures habituelles. Un procès aura lieu en présence des Maréchaux et du blasphémateur.
La sentence pourra aller de 4 à 6 clonages, suivant la gravité du blasphème, et l'attitude du coupable.
En cas de récidive, la peine sera ré appliquée et augmentée d'un clonage, dès les constatations des faits par un Commissaire Militaire, et sans aucune procédure.

J’ai maintenant finit les accusations.
-Monsieur cratos vous pouvez donc retournez aux prés de votre client, je laisse maintenant la parole a la défense ou au commissaire politique. »

Régall se tut et un lourd silence pesa sur la salle, le commissaire politique Shi-ao se leva et prit la parole avant que la défense n’expose son argumentation.

Entouré par 4 soldats de la Garde d'Honneur Présidentielle, il se dirigea vers la barre et pris enfin la parole :

« Soldats de l'Union, Commissaire, membres du Tribunal Populaire, je tiens avant toute chose à rappeler les circonstance de cette affaire : le soldat capritali a insulté la grandeur de l’union populaire suite a une exécution sommaire n’ayant pas été totalement réalisée dans les lignes de notre justice. Cependant, ce qui est fait est impardonnable, le coupable doit être jugé comme il se doit! Merci... »

shi-ao retourna ensuite à sa place...

Après ce discours, l'avocat de l'accusé se leva a sont tour et pris la parole pour défendre sont client:

"Bonjours a tous le monde

Quand l'on connais le passé de mon client avec la justice qui avait ignoré le meurtre de sont meilleur amis par un soldat de l'union populaire, et qui avait camouflé cela en assassinat par des commandos spécialisé en assassinat des camp adverse.

En plus mon client est un jeune soldat prometteur donc j'espère sincèrement, monsieur le commissaire militaire, que vous baisserez au moins la peine si mon client s'excuse en public."

L'accusé se leva et prit la parole :

« -J'ai décidé de m'excuser car je regrette mes actes que j'ai prononcé sous le coup de la colère. Je m'excuse sincèrement devant tout le peuple de l'union populaire.
-J'espère que vous tiendrez compte du regret qu'éprouve mon client."

Après ses paroles, l'avocat s'assit sur son siége en attendant le verdict.
La salle pus deviner la réflexion du commissaire. Personne n'osait parler, tout le public de la salle se demandait quelle serait la réaction du commissaire, lui seul tenant vraiment le destin de l’accusé dans ses mains.
Régall prit tout son temps pour étudier les dossiers, ne voulant en aucun cas faire une injustice judiciaire, surtout pour sa première affaire.
Le commissaire militaire général reprit la parole après une bonne dizaine de minute :

« -Je déclare l'accusé coupable d'insulte envers l'union populaire cependant, j'ai tenu compte de son repentir et sa peine s'élève à un seul clonage ainsi qu'a des travaux d'intérêts général. »

Le commissaire régall déclara alors la fin de séance. Il sortit l'ait satisfait de la manière dont s'était déroulé le procès.